La Queen des freelances
//slasher
Créatif, impertinent est libre
Freddie Mercury nous a quittés il y a 27 ans bien avant que le statut d’autoentrepreneur n’existe il était à lui seul le parfait auto-phénomène. [ ok c’est nul, mais bon je ne suis pas fredie mercury]Le leader du groupe Queen était une bête de scène et possédait une voix remarquable. Le réalisateur Bryan Singer signe un biopic du chanteur intitulé ‘Bohemian Rapsody’ sur les toiles actuellement et voici l’occasion de papoter sur le fait que ce mec est probablement le prototype de freelance le plus représentatif du nouveau monde qui se profil. Sur le plan musical, il n’y a plus grand-chose que nous pouvions vous apprendre sur Freddie mais dans sa quête de prendre son destin en main par la radicalité d’une posture, il était une [lic] ic® one à faire pâlir la génération de startuper qui rêvent de disrupter un marché en devenant la queen de leur secteur d’activité. Farrokh Bulsara [ son véritable nom] avait en effet toutes les qualités, attitudes, aptitudes, folies, compétences et TALENTS [ 4 octaves quand le commun des mortel est à 2, 5 max] pour faire une extraordinaire métaphore des valeurs et de la vision que nous portons chez Labelvie.
Innovant, Freddie l’aura été tout au long de sa carrière. Bohemian Rapshody, l’un des plus gros tubes de Queen, en est un parfait exemple. C’est lui qui imposa cette chanson anti-conventionnelle au reste du groupe ainsi qu’à leur maison de disques et contre toute logique marketing. Cette chanson brisait toutes les règles en étant trop longue (6 mn, soit plus du double des standards de l’époque), en mixant de l’opéra avec de la pop-rock… Elle était annoncée d’avance comme un suicide commercial. Et boom elle est restée N°1 pendant 9 semaines au classement anglais et a permis à Queen de se singulariser mondialement avec cette chanson légendaire et poignante. Freddie avait à la fois cette volonté d’être ce poisson qui remonte le courant contre les bancs de tous les océans, et cette détermination ( et non pas de l’obstination) à convaincre que son instinct ( ou coup de poker) est un focus gagnant. Cette leçon nous enseigne que bien souvent la recette de copier tout le monde permet certes de rester dans sa zone de confort mais que l’audace et la créativité envers et contre tous provoque des raz de marée. Je me plais à supposer que oussama Amar et alice zagury auraient aimé avoir la start-up fredie dans l’écurie de « the family ».
Brian May décrit le processus créatif du groupe avec Mercury:
“Créer avec Freddie était toujours très stimulant. Il était audacieux, percevant toujours un moyen de « sortir de la boîte ». Par moments, il en sortait même trop loin… et il était souvent le premier à s’en rendre compte. Avec un sourire complice, il nous disait alors: « Oh, est-ce que je me suis égaré, mes chers ? »
« Mais généralement, il y avait du sens dans son non-sens, de l’art dans sa folie. Il a été libérateur. Je pense qu’il nous a tous encouragés à sa manière à croire en notre propre folie, et à la folle puissance collective du groupe Queen.”
Il est une inspiration à plus d’un titre. D’abord parce-que c’est quelqu’un qui avait une vision, mais aussi pour la persévérance dont il a fait preuve. Il a toujours su qu’il serait une star et a surmonté toutes les difficultés pour y arriver.
C’est aussi quelqu’un d’incroyablement créatif, impertinent, et libre (« je n’en ai rien a foutre de ce que les gens disent de moi »). Une véritable preuve de confiance en soi et de profondeur dans un monde qui prône trop souvent le conformisme. Labelvie partage cette attitude qui nous semble irrémédiablement nécessaire pour construire une identité entrepreneuriale qui soit immédiatement différentiel. Sortir du lot, sauter aux yeux, nécessite forcément un regard radicalement opposé du plus grand nombre. Mais le regard ne suffit cas, il faut évidemment exister avec une offre irrésistible pour vous singulariser auprès de votre cible.