Impossible de dresser un portrait-robot avec la diversité d’activités que recouvrent ces indépendants (majoritairement auto-entrepreneur) même s’ils sont souvent dans le digital, plutôt jeune quadra, souvent diplômés et expérimentés et à mi-temps pour près de 1 sur 2. Ils exercent avec toutes les entreprises TPE, PME, et les grands groupes commencent à approcher les meilleurs profils souvent via les plateformes de missions. Libres d’horaires et de hiérarchie ils aiment l’indépendance et bosse souvent après 20H depuis chez eux, par choix et mode de vie. Le choix des projets est leur  seconde motivation suivie de la quête d’une meilleure rémunération. Comme dans un emploi salarié, il existe des freins et inconvénients à vivre en freelance. Pas de frontière entre vie professionnelle et vie privée ou encore la difficulté de trouver des clients qui est à l’origine du boom des plateformes pour freelances.

Pour se faire un réseau et acquérir ses premiers clients il faut du temps, et surtout cultiver une posture et une valeur ajoutée qui fasse la différence. En attendant le mode « mission » et salariat à mi-temps est courant.

Toutefois, des solutions existent comme les plateformes proposant des missions indépendantes. Elles sont le chaînon manquant entre les freelances et les besoins des entreprises. Être freelance n’est plus vu comme un choix par défaut, mais comme une véritable aspiration, que l’on soit jeunes diplômés ou freelance confirmé, l’économie va lentement basculer vers ces nouveaux modes d’organisations. Il est bon de rencontrer d’autres freelances pour comprendre leur mode de vie, leur stratégie commerciale et l’aspect administratif lorsque l’on est indépendant. Le portage salarial est de plus en plus plébiscité pour les accompagner qu’ils exercent en qualité de créatif, développeur web, ou autres. Labelvie est particulièrement proche des freelances et de toute la culture et style de vie autour de la mise en œuvre de cette émancipation.