Labelvie soutient totalement le programme de formation pour apprendre à entreprendre « koudetat ». Pourquoi ? ben parce que c’est le meilleur actuellement sur le marché. Ce programme est très complet est s’adresse absolument à tout le monde quel que soit votre désir d’entreprendre et vos problématiques propre. Certes « koudedat » à une culture start-up mais le moindre auto-entrepreneur à plus à découvrir ici que dans n’importe quelle formation. Tout est bon chez koudetat, le fond , la forme, l’esprit et en plus vous contribuez uniquement si ça vous chante.
Jettes un oeil sur l’article dans medium qui explique pourquoi le programme est gratuit est prends directement l’ambiance [et le sens] qui règne là-bas =>
C'est qui ces terroristes ?
On ne présente plus l’accélérateur parisien, [ the familly] aujourd’hui présent partout en Europe, ayant permis à des dizaines de milliers d’entrepreneurs de comprendre l’écosystème startup mais également au final de transcender des milliers d’autoentrepreneurs, freelances, consultants, avec des enseignements et une posture adaptés au nouveau monde. KOUDETAT fût originellement lancé sous forme de cours en présentiel pour aider les entrepreneurs parisiens à se lancer, tout est disponible gratuitement sur leur site.Et pour parfaire le tout, des nouvelles vidéos arrivent dès le 17 Octobre !
Donner les moyens de concrétiser les rêves de potentiels entrepreneurs, c’est ce qui fait vibrer l’équipe de Labelvie alors on y va à fond. Il y a quatre ans, Koudetat a fait de « The Family » un acteur incontournable dans l’éducation à la culture startup, et l’entrepreneuriat en général. Les contenus mis en ligne sur Youtube ont permis à des milliers d’entrepreneurs d’apprendre à entreprendre avec les bons réflexes – c’est plus de 5 millions de vues. Souvent nous reprenons leurs thématiques lors de nos apéros et ateliers en régions où en webinar et force est de constater que nous partageons les mêmes valeurs.
Ces derniers temps, « entrepreneur », au sens lifestyle business freelance, consultant, TPE, etc.. est devenu LE rêve d’émancipation qui monte, qui monte. Mais qu’attendent-ils des statuts indépendants [auto-entrepreneur, au réel, agent co] et de l’indispensable nécessité d’apprendre à entreprendre en brisant la solitude de l’entrepreneur individuel ?
C’est un peu la genèse de Labelvie que de permettre à plus de gens de prendre le pouvoir sur leur vie, et les accompagner en étant bienveillants vis-à-vis de leurs envies [apprenons ensemble !] et de leurs contraintes [résolu en partie avec le portage salarial… et sans exclure ceux qui ne rentrent pas dans cette case officielle grâce au portage entrepreneurial] Cependant le modèle Labelvie implique de sélectionner les indépendants ultra-ambitieux au sens de vraiment vouloir entreprendre et prendre leur vie en main en se comportant et en cultivant une attitude spécifique.
Le portage est ambigu dans sa posture, par exemple peut-on considérer qu’un gars placé en entreprise le temps d’une mission proposé par une SSII où une agence de recrutement dans un habillage « portage » ait les mêmes préoccupations et désirs qu’un freelance prospectant des PME ? Il est probable que ce « placé » se considère plutôt comme un salarié avec des tâches, des horaires, un employeur, et un salaire. La frontière est fine entre le « super consultant freelance « multipliant les missions et projets et le « salarié placé » à la façon d’un intérim à l’envers. La problématique va beaucoup plus loin, puisque « les placés » ne considèrent la société de portage que comme un gestionnaire ce qui induit des rapports froids, distants, voire conflictuelle et orienté « revendications salariales « sans valeurs, collaboration et culture commune. Un no man’s land que nous laissons volontiers à d’autres.
Labelvie veut s’occuper des gens voulant entreprendre, les accompagner, les aider, les rassembler, et s’amuser. Il faut montrer aux gens que selon leurs envies, ils peuvent prendre le contrôle de leur vie, être entreprenant et se dépasser, et tout ça sans clivage. Une coiffeuse à domicile est autant un entrepreneur individuel qu’un manager de transition et chacun peut apprendre de l’autre. Chez Labelvie nous rêvons de faire croître une communauté suffisamment grande pour que qu’au modèle économique initial ( une faible commission de gestion et mise à disposition de conseils/d’outils/applis…) se rajoute une distribution de commission en réseau, mais également des évènements payants ou encore la vente de produits physiques ( accessoires, goodies).Il faut que tout cela soit vertueux en alors peut-être qu’au final, tout ça sera plus sexy.